Résumé de la vidéo
00:00 Intro
00:10 Sommaire
01:35 Agriculture : la fraise se développe hors-sol
06:12 Santé : reconstitution des ressources du Fonds mondial
06:58 Budget : le Kenya réduit le financement de la santé
07:33 Les fleurs, moteurs de l’horticulture éthiopienne
15:49 Economie : l’essor de la Zambie
16:40 Politique monétaire : la BEAC mise sur l’or
17:24 Finances : la notation d’Afreximbank contestée
17:59 Notation du risque crédit : bientôt une agence africaine
26:31 Outro
🚨 Suivez nous sur nos différents réseaux sociaux :
➡️ Instagram : https://www.instagram.com/africaonair.africannewshub/
➡️ LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/africaonair/
➡️ Facebook : https://www.facebook.com/africaonair.africannewshub/
➡️ X : https://x.com/africa_shows
➡️ Site web : https://africa-on-air.com/
Contexte et enjeux
Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle édition de Business Africa. Cette semaine, dans votre magazine de l’économie et de la finance panafricaine, nous explorons les opportunités offertes par le secteur de l’horticulture ainsi que les perspectives de croissance amélioré pour la Zambie. Mais avant tout, voici les titres. La culture de la fraise hors sol fait de plus en plus d’adeptes en Afrique. Une dizaine de pays se sont lancés dans le développement du fruit rouge. J’ai notamment testé cartes variété parmi lesquelles j’avais la Charlotte, j’avais la Duchen, j’avais la Gergate et la Maestro. Et de toute cette variété, je n’ai retenu que la Charlotte. Ceci à cause de ses performances de de production. Les fleurs se taillent la part du lion des exportations de l’horticulture éthiopienne en succès grandissant qui tient tête à la concurrence internationale. Nous cultivons environ 16 variétés avec des couleurs différentes selon les besoins des clients. Nous avons environ 6 à 7 hectares couverts par des variétés rouges parce que le rouge est une variété commune. Ensuite la et la blanche et nous avons différentes sortes de couleur rose. Une agence africaine de notation du risque crédit pour bientôt. Après plusieurs années
Développements clés
d’effort, l’Union africaine se rapproche de l’objectif. Les problèmes que les pays africains rencontrent avec les trois grandes agences de notation sont tout d’abord lié à leur méthodologie. Lorsque certaines d’entre elles établissent leurs rapports, elles manquent de cohérence et de transparence. Cultivé depuis longtemps en Occident, la fraise suscite un intérêt économique grandissant de la part des jeunes entrepreneurs agronomes en Afrique. Depuis 2019, Freizen, une start-up sénégalaise s’est donné pour mission la création et l’accompagnement dans réseau africain de producteurs de fraises. Au Cameroun, par exemple, la production de ce fruit rouge en culture hors sol est en pleine croissance comme l’a constaté notre journaliste Maxime Farel Biaard. Regardez, c’est un fruit qui occupe de plus en plus une place de choix dans les gourmandises de plusieurs Camerounais. La fraise, un fruit dont peu connaissent la provenance de la production. Dans un lieu de vente, nous avons effectué un petit sondage. Oui, j’ai habitude de manger mais je ne sais pas de quel pays ça vient. Où se produit au Cameroun où c’est importé, je ne sais pas. Je la mange constamment. Ah vraiment, j’aimerais que la position s’augure. Puisque les clients vont s’enter, elle est bien. Mais en réalité, ce qu’il ne sait pas, c’est qu’une bonne quantité de fraises achetées dans les lieux de vente sont désormais produites localement. De son nom botanique, Pragaria Veska se cultive véritablement sur le sol camerounais. Cette activité suscite un réel intérêt pour les jeunes comme Dunason qui injecte des
Perspectives
fonds propres pour la production. Dans sa ferme agricole, il développe une espèce particulière parmi de multiples variétés. J’ai notamment testé cartes variété parmi lesquelles j’avais la Charlotte, j’avais la Duchen, j’avais la Gergate et la Maestro. et de toute cette variété, je n’ai retenu que la Charlotte si à cause de ses performances de de production, de sa résistance par rapport aux maladies, à la sécheresse. La charlotte d’un goût particulièrement sucré évolue sur un dispositif conçu par l’ingénieur agronome des formes piloti pyramidales, des techniques d’agriculture verticale qui ne sont pas à l’udine. L’objectif donc de ce dispositif, c’est d’intensifier la production sur une faible unité de de surface. Rendez-vous compte, nous sommes installés sur 2,25 m², mais sur cette 2,25 m², on a la possibilité de cultiver plus de 50 plans de fraiser. Et pourtant, si on était resté sur la première base, uniquement celle du sol, ce premier bac là, on serait marxié à 25 planss. Étant donné que les fruits ne sont pas en contact direct avec le sol, on exploite les bordures des pyramides telles que vous pouvez observer pour déposer les crapes de fruits. Donc du coup là, on aura toujours des fruits