Résumé de la vidéo
00:00 Intro
00:30 Sommaire
01:40 Économie : les PME, une source de richesses
07:32 Liste grise : le Kenya face au risque de blanchiment
08:24 Mines : les enjeux de l’or artisanal
15:14 Energie : l’Egypte contrainte d’accroître les importations
16:07 Cacao : une troisième année difficile se profile
16:54 Libre-échange : la Chine fait un nouveau pas vers l’Afrique
17:42 Afrique-Chine : une langue commune pour le business
23:33 Outro
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Contexte et enjeux
Bonjour à toutes et à tous. C’est avec grand plaisir que je vous retrouve pour cette nouvelle édition de Business Africa. Cette semaine au programme de votre magazine de l’économie, nous parlerons notamment des matières premières et de l’impact énergétique du conflit Israël Iran sur l’Égypte. Mais tout de suite, voici les grands titres de cette édition. Trouver des pistes de financement pour les PME et les experts africains planchent sur des solutions très attendues pour l’emploi et la croissance de l’économie du continent. Il faut que nous ayons des des entrepreneurs euh capables en terme de compétences pour gérer en fait une unité donc qui produit la valeur. Si vous avez euh un business bien structuré, le financement ne posera pas trop de problème. Ils sont de très jeunes enfants et aident déjà leurs parents dans des mines artisanales d’or en Guinée. une situation attisée par le nondroit qui règne dans des pans entiers du secteur extractif africain. Nous avons constaté que les parents en église dans les zones minières, l’éducation des enfants, ils amènent les enfants avec eux dans les mines pour les exploiter. Au Bénin, les jeunes se mettent à étudier la langue chinoise pour s’insérer plus
Développements clés
facilement dans la vie active. B les raisons qui m’ont motivé à choisir la langue chinoise, c’est parce que j’ai constaté que avec la Chine, il y a beaucoup de possibilités et de l’emploi. Elle représente environ 90 % du tissu entrepreneurial africain et génère entre 60 et 80 % des emplois du secteur formel. Les petites et moyennes entreprises, les PME, constituent la principale source de création de richesse et d’emploi du continent. Pourtant, leur essort demeure limité par l’obstacle des financements. Un déficit estimé à plus de 331 milliards de dollars. Une meilleure structuration des entreprises africaines permettrait de résoudre en partie ces problèmes. C’est ce qu’ont expliqué des experts à notre correspondant Aidasso lors d’une récente conférence au Bénin. Regardez, les petites et moines entreprises représentent la principale source de création d’emploi et de richesse dans la plupart des pays africains pour le permettre de prospérer. Diverses initiatives ont été prises mais de nombreux obstacles continuent de freiner leur développement. Plusieurs fonds garantie ont été créés mais à peine 20 % des PME ont bénéficié d’un financement à travers ces fonds. Les fonds de capital risque ont été créés mais rapidement disparus ou bien réorientés vers du capital investissement parce que ne trouvant pas d’opportunité sans risque de financer des PME. Premier fra majeur, les difficultés persistantes des petites et moines entreprises pour accéder à des financements dans un contexte démographique urgent. Si 2030, il y aura plus de jeunes sur le marché du travail en Afrique
Perspectives
qui aura dans tout le reste du mois et d’ici 2050, il y aura encore plus de jeunes qui en tout le reste. Bon, ça la problématique parce que dans le contexte que nous avons aujourd’hui au Bénin, par exemple, 90 % plus de 90 % des entreprises sont les PME. Donc si vous voulez créer des emplois, c’est pas ces PME, c’est pas l’État. Oh, pour les acteurs du secteur financier africain, l’accès au financement est loin d’être l’unique problème de ces entreprise. Le plus grand problème n’est pas que le n’est pas seulement le financement, c’est un problème de structuration. Pour l’entrepreneur, quelles sont les compétences dont il dispose pour bien gérer l’entreprise ? Quelles sont les compétences dont il dispose pour disons combuer toutes les ressources dont il a à sa qu’il a à sa disposition pour en fait réussir la gestion de l’entreprise. Beaucoup de petits témoines entreprises privilégient un statut informel. Elle reste réticente à faire des déclarations fiscales. Une posture qui ne leur permet pas de bénéficier de l’appui des institutions financières. Ces petits témoins d’entreprises souffrent aussi d’un déficit d’information. Elles ignorent souvent comment accéder au financement et surtout quel type de produits