La production d’huile de palme stabilise l’économie des habitants de Beni

Résumé de la vidéo

À Beni, dans l’est de la RDC, la production artisanale d’huile de palme devient un pilier économique pour une population durement frappée par l’insécurité. Source de revenus, d’emplois et d’espoir, cette activité permet à des milliers d’habitants, comme Jeanne Mbula et Kakule Benoit, de reconstruire leur vie.

Dans ce reportage, découvrez comment la filière de l’huile de palme contribue à soutenir l’économie locale malgré les défis sécuritaires, et comment elle pourrait devenir un moteur de développement pour toute la région.

🎥 Journaliste : Daniel Michombero

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Contexte et enjeux

Pour ce premier reportage, je vous emmène dans l’est de la République démocratique du Congo, un territoire particulièrement touché par la guerre entre plusieurs groupes armés. Béni, un des six territoires de la province du Nord Kivou est particulièrement affecté avec un appauvrissement croissant de la population. Une fatalité que les habitants ont décidé de défier à leur manière en s’investissant dans la transformation de l’huile de palme. Esprit de résilience prise en main de moyens de production artisanale. Tout cela dans un contexte sécuritaire qui menace la chaîne d’approvisionnement. Notre correspondant Daniel Michberot a voulu en savoir plus. Regardez. Nous sommes à Béni, ville d’épice de 1560 habitants en province du Nord Kivou. Depuis quelques années, plusieurs usines artisanales de transformation des palmiers à huile ont tous vu les jours et constitu de personnes déplacées des guerres. Cette huile est exportée le plus souvent en Uganda. Mais à béni, l’huile de palme est aussi utilisée dans la fabrication des savons. Elle est également appliquée au soin de la peau et des cheveux. Les déchets venant de ces usines artisanales servent de nourriture au cochons, aux poules ainsi qu’au poissons pour ceux qui possèdent des états pissicol. Jeanne Mboula, veuve

Développements clés

et mère de 5 enfants, est aujourd’hui financièrement stable et parvient à souvenir aux besoins élémentaires de sa famille grâce à cette activité. Mon seul et unique travail, c’est le commerce de l’huile de panne. Je suis déplacée, venu du village de Ngambo, Numbbu. Quand je suis arrivée ici à Bény avec mes enfants, j’ai commencé ce travail pour assurer la survie de ma famille. J’achète ici pour aller vendre aux fabricants des savons. Dans cette usine, Kakou le Bigois fait son possible pour gagner de l’argent qui lui permettra de finir de régler les traités de sa parcelle. Il fait tout de même face à plusieurs défis. Nous recevons les produits bruts que nous transformons en huile grâce à cette machine. La meilleure qualité est consommée dans la nourriture. L’autre sert dans la fabrication des savons. Il y a beaucoup de risques dans ce métier. Tu peux perdre ton bras si tu ne fais pas attention. Si tu prends de l’alcool, tu ne peux pas t’en sortir. Il faut être fort et souple. Comme dans tout travail, il y a des risques. Car si la courroie lâche, il peut nous blesser. Je travaille depuis un an. Je suis dans le processus de me payer une parcelle. La fois dernière, nous avons arrêté les travaux à cause de l’insécurité, mais je travaille dur pour payer cette parcelle. Les fabricants des savons, c’est cette usine la société industrielle commerciale de Virongasikovir fondé en 2013 à Motoanga sur les pieds de Morouinzori

Perspectives

dans le territoire de Lubero en province du Nord Kivou à l’est de la RDC avec un chiffre d’affaires de 17AR700 millions de francs congolais soit 707142000,8571 dollars pour cette année. Non seulementine fabrique des savons avec une capacité d’une tonne par jour pour la communauté et la région. Elle fournit aussi des emplois à un grand nombre de jeunes. Scovir consomme 90 % de l’huile de pâ produit localement dans la zone de Bénis. Sikovir emploie l’ensemble de la jeunesse du territoire de B qui le moment disons les emplois directs créés par COVID, on est à 150 jeunes qui sont employés par SOV directement mais les emplois indirects, on est à plus de 2000 parce que il y a des activités qui se créent dans le béni dans le fin de l’UBau eux On on qui pénit on on a élargi un peu aussi notre activité économiqueouri le bugia et donc c’est toute une chaîne un tissu économique précé mais sans cesse menacé par la situation sécuritaire les difficultés sont énormes hein elles sont vraiment énormes et d’abord il y a des difficultés liées à la sécurité c’est que si covir est d’abord une entreprise comme tu l’as

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