Business Africa 656 VF

Résumé de la vidéo

00:00 Intro
00:10 Sommaire
01:42 Reportage : Agrix Tech, une start-up pour les agriculteurs
08:45 Cobalt : un marché marqué par la volatilité
09:33 Rwanda- RDC : accusations sur le pillage des minerais
10:13 Apiculture : difficile cohabitation des abeilles et des cultivateurs
18:25 Startups : la quête de nouveaux financements
19:07 Economie : le Sénégal poursuit son expansion
19:54 Banques : la concurrence des fintechs nigérianes
20:34 Fintech : la promesse de l’inclusion financière
25:40 Outro

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Contexte et enjeux

Bonjour à toutes et à tous. C’est avec grand plaisir que je vous retrouve pour cette nouvelle édition de Business Africa. Cette semaine dans votre magazine de l’économie et de l’entreprise, nous nous intéressons particulièrement aux matières premières et aux start-up, y compris les fintech. Et tout de suite, voici les titres. Les startups africaines se mettent à l’heure des agriculteurs. Direction Yaoundé pour découvrir les promesses de la jeune pousse AGC. Quand tu places l’application sur la sur la plante, ça te dit la maladie que la tomate a. Ça te propose également la solution. Quel quel quel produit tu peux utiliser pour soigner la maladie ? L’apiculture une source de bienfait économique et thérapeutique en dépit de la cohabitation difficile des agriculteurs et des abeilles dans le bassin du Congo. Si les populations de Ninduma pensent que nous nous avons fait quitter les abeilles à PE noire pour venir les tuer pour les empêcher de faire leur champ chauffau. C’est un problème de haine et de jalousie. Améliorer l’inclusion financière sans sacrifier la sécurité des clients. Tel est le nouveau défi du secteur bancaire africain. Le plus grand défi auquel nous sommes confrontés est celui des escrocs. Nous

Développements clés

cherchons constamment des moyens d’éviter leur pièges. Les banques nous invitent souvent à des séminaires pour nous informer sur leur méthode comme l’envoi de messages frauduleux. Un smartphone dans les Champs africains, c’est l’espoir de cette start-up camerounaise de Yaoundé à Griekstech. C’est solution numérique basé sur des algorithmes d’apprentissage automatique vont de la recherche de financement à l’assurance et à l’accès au marché sans oublier le conseil technique agricole. Notre correspondant au Cameroun Abouakar Sidq Munchili a suivi le travail de cette start-up dans le montage de projet et le traitement des cultures. Regardez. Un smartphone mer au milieu d’un champ comme celui-ci que tient cet agriculteur camerounais dans son champ de tomate. Ce n’est pas un effet de mode mais un simple jouet sans lien avec sa production. Il s’en sert pour utiliser l’application qu’il a installé pour scanner les plantes. La vidéo enregistrée et automatiquement analysée et toutes les informations utiles qu’il souhaite avoir lui sont fournés. Quand tu places l’application sur la sur la plante, ça te dit la maladie que la tomate, ça te propose également la solution. Quel quel produit tu peux utiliser pour soigner la maladie ? De nombreux paysans africains expérimentent actuellement la révolution numérique qui s’est emparée du secteur agricole avec à la clé de nombreuses innovations porteuses pour l’agriculture du continent. Depuis des années que je travaille, je n’avais jamais eu une réussite pareille. Grâce à Grist, ce dernier moment si je sens que ça doit aller. C’est un outil

Perspectives

donc précieux pour Jean Ramos et son vaste champ d’une superficie de 3 hectares dans la région du centre Cameroun. La tomate est très recherchée et se vend un bon prix sur le marché ces derniers temps. Il est certain de faire une bonne production. Les premiers sont déjà presque en maturité. Là où nous sommes présentement, si c’est la 7e semaine après repiquage. Il y a d’autres de l’autre côté là qui sont peut-être à une semaine, d’autres sont à de semaines. On évolue au fur et à mesure. Je fais dans l’agriculture dans la dans la dans le maricher depuis presque 10 ans. Bon, ces derniers moments, j’ai connu Agristech. Agric était une application qui permettait aux agriculteurs de détecter les maladies des plantes. Cette application fonctionne offline, est en langue nationale camerounaise dont la l’agriculteur qui l’utilise n’a pas besoin d’être là où il y a une connexion internet, il peut l’utiliser en langue maternelle. Outre cette application, nous avons pu développer d’autres applications. Par exemple, on a une application qui permet à nos agents de terrain de de faire l’étude des risques agricoles dès le départ du projet. Agristech est une idée originale de ces jeunes

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